Emmanuel Macron

Macron avait reçu al-Sharaa à l’Élysée dès janvier 2025, deux semaines après les massacres d’Alaouites à Lattaquié. Un geste perçu comme hâtif, sans condition ni contrepartie, motivé par le symbole plus que par la stratégie. Trump, lui, a attendu presque un an avant d’ouvrir les portes de la Maison-Blanche — avec des exigences précises : coopération sécuritaire avec Israël, désengagement iranien, inclusion minoritaire. La différence est frappante : Trump impose des conditions, la France distribue des accolades. Trump parle de stabilité, Macron d’image. Trump parie sur les rapports de force, la France sur la rhétorique des principes. Résultat : Washington façonne le terrain, pendant que Paris commente depuis les tribunes.

Le pari audacieux de Trump sur Ahmed al-Sharaa : une opportunité risquée pour la Syrie et le Moyen-Orient

11 novembre 2025

La rencontre historique du 10 novembre 2025 entre Donald Trump et Ahmed al-Sharaa à la Maison-Blanche marque un tournant inattendu. Pour la première fois depuis 1946, un président syrien foule le sol de Washington. Ancien […]

Macron et l’illusion palestinienne : une diplomatie complice de l’islamisme

3 septembre 2025

En annonçant la reconnaissance d’un État palestinien, Emmanuel Macron prétend relancer un processus de paix inexistant. En réalité, il cède une fois de plus à une rhétorique qui nourrit l’illusion, au lieu de poser les […]

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