Israël, une chance pour le Moyen-Orient que l’Occident refuse de voir

Israël incarne une chance unique pour l’avenir du Moyen-Orient. Dans une région marquée par les conflits et la désertification, l’État hébreu transforme ses contraintes en innovations. De l’agriculture du désert aux technologies de l’eau, il construit un futur que ses voisins — et trop souvent l’Occident — refusent de voir.

Alors que les slogans simplistes saturent les rues européennes — « Free Palestine », « Israël génocidaire » —, un fait indéniable échappe aux regards : Israël n’est pas seulement une démocratie au cœur d’un océan de dictatures, c’est aussi un moteur d’innovation qui nourrit et sauve des millions de vies dans le monde.

En 2023, Israël se classait au 14ᵉ rang mondial de l’Indice global de l’innovation, devant des pays comme l’Espagne ou l’Italie. Le pays consacre près de 5 % de son PIB à la recherche et développement, un record mondial. Ces chiffres ne sont pas abstraits : ils expliquent pourquoi, depuis ses débuts, Israël transforme les contraintes en solutions que le reste du monde finit par adopter.

Au lieu de voir cette réalité, une partie de l’Occident — gauche radicale en tête — choisit de diaboliser Israël, préférant défendre des mouvements terroristes que soutenir la seule nation de la région capable de transformer le désert en grenier.

Quand Israël fait pousser la vie dans le désert

Israël a bâti son agriculture dans un environnement hostile : désertique, aride, menacé par le manque d’eau. C’est précisément cette contrainte qui a engendré une révolution technologique dont profite aujourd’hui l’humanité entière :

  • Goutte-à-goutte : inventé par l’ingénieur Simcha Blass dans les années 1960, il a réduit de moitié la consommation d’eau agricole tout en augmentant les rendements. Aujourd’hui, il est utilisé dans plus de 100 pays, de l’Inde à l’Afrique.
  • Irrigation intelligente par capteurs et IA : donner à chaque plante la quantité exacte d’eau dont elle a besoin.
  • Agriculture désertique : faire pousser des cultures dans le sable et l’eau saumâtre, en transformant les zones hostiles en surfaces productives.
  • Agrivoltaïsme : combiner énergie solaire et agriculture sur les mêmes terres, double rendement pour un même espace.
  • Eau tirée de l’air : les machines de la startup israélienne Watergen produisent de l’eau pure à partir de l’humidité de l’air. Elles sont installées dans des villages africains, au Texas, au Vietnam… et même à Gaza.

Autrement dit, là où beaucoup ne voient qu’un désert, Israël crée un laboratoire vivant de survie pour la planète.

De la tomate cerise aux drones agricoles

Israël ne se contente pas d’irriguer mieux, il invente de nouvelles façons de produire :

  • La tomate cerise moderne : créée dans les années 1970 à l’Université hébraïque de Jérusalem, devenue un produit d’exportation mondiale.
  • Drones agricoles : la startup Tevel Aerobotics développe des drones cueilleurs de fruits autonomes, déjà testés en Espagne et en Italie.
  • Lutte biologique : l’entreprise israélienne BioBee exporte des insectes prédateurs vers plus de 50 pays, pour remplacer les pesticides.
  • Pollinisation robotisée : répondre au déclin des abeilles grâce à des systèmes mécaniques innovants.
  • Champignons mycorhiziens : renforcer les racines, réduire l’usage d’engrais, sauver des récoltes entières.

Chaque innovation sortie des laboratoires israéliens est une arme contre la faim mondiale.

Une agriculture high-tech qui inspire

Israël a inventé une agriculture de précision :

  • Capteurs pour vaches : la société Afimilk suit la santé des troupeaux, augmentant la productivité laitière de 30 %.
  • IA pour volailles : Soos Technology a conçu un système qui « écoute » les poulets pour détecter les maladies avant qu’elles ne se propagent.
  • Aquaculture durable : des systèmes de recirculation d’eau permettent de produire du saumon en plein désert du Néguev.
  • Viande cultivée : Aleph Farms, soutenue par Leonardo DiCaprio, produit de la viande réelle à partir de cellules, sans abattage, et a déjà noué un partenariat avec les Émirats arabes unis.

Là où d’autres pays s’enlisent dans les discours idéologiques, Israël avance avec des solutions concrètes aux défis alimentaires et environnementaux.

Une leçon pour le Moyen-Orient

Israël pourrait être une formidable chance pour le Moyen-Orient. Ses innovations pourraient irriguer l’Irak, reverdir la Syrie, sauver le Yémen de la famine, ou offrir aux pays du Golfe autre chose que la dépendance pétrolière.

Cette vision n’est pas hypothétique : Israël exporte déjà de l’eau vers la Jordanie depuis 2013. En 2021, un accord tripartite Israël–Émirats–Jordanie a été signé : une ferme solaire géante en Jordanie alimentera Israël en énergie, et en retour, Israël fournira de l’eau dessalée à la Jordanie. C’est la preuve que la coopération est possible quand la haine recule.

Mais cela suppose une condition : accepter qu’Israël existe, coopérer avec lui, et voir en lui un partenaire plutôt qu’un ennemi.

Quand l’Occident choisit la haine plutôt que l’avenir

Or, que fait une partie de l’Occident ?
Au lieu de s’appuyer sur Israël pour relever les grands défis du siècle — climat, eau, alimentation, énergie —, il préfère le diaboliser, l’isoler, l’accuser de tous les maux.

L’Union européenne consacre des milliards à des programmes « verts », mais dans le même temps, continue de financer l’Autorité palestinienne dont une partie des fonds est détournée pour rémunérer des terroristes. Une absurdité historique : s’opposer à Israël, c’est s’opposer aux solutions qui sauveront demain l’humanité.

La gauche radicale, aveuglée par son alliance avec l’islamisme, préfère défendre le Hamas plutôt que la science israélienne. Elle préfère applaudir la haine que reconnaître qu’Israël, pays minuscule par sa taille mais immense par ses apports, est déjà un pilier du futur.

Israël : le laboratoire du futur

À l’heure où la planète suffoque, Israël prouve qu’un pays né dans l’adversité peut devenir un modèle mondial. Ses innovations irriguent déjà plus de 100 pays, de l’Asie à l’Afrique, et inspirent les solutions de demain.

Ce que ses ennemis refusent de voir, c’est que la survie de millions d’êtres humains dépendra en partie des innovations israéliennes d’aujourd’hui.

En somme, Israël est une chance pour le Moyen-Orient, et pour l’humanité entière. Refuser Israël, c’est refuser l’avenir. Le nier, c’est choisir la haine contre la vie.