« Gaza, prison à ciel ouvert » – Déconstruction d’un mythe

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Le slogan

Depuis des années, militants et médias répètent que Gaza serait une “prison à ciel ouvert”. Cette formule, devenue un mantra, sert à accuser Israël d’enfermer deux millions de Palestiniens dans un territoire étouffant.

La réalité

  1. Retrait israélien en 2005
    Israël a évacué toutes ses colonies et ses soldats de Gaza. Depuis, le territoire est administré par l’Autorité palestinienne, puis par le Hamas qui s’en est emparé par la force en 2007.
  2. Blocus partagé
    Le blocus n’est pas israélien seulement : l’Égypte contrôle aussi la frontière sud de Gaza et ferme régulièrement le point de Rafah. Ce contrôle vise à limiter l’entrée d’armes, pas de biens humanitaires.
  3. Accès aux biens et à l’aide
    Chaque jour, des centaines de camions d’aide et de marchandises entraient à Gaza via Israël. L’électricité, l’eau et une grande partie des ressources étaient fournies par Israël, malgré l’hostilité du Hamas.
  4. Le vrai carcan : le Hamas
    Les habitants de Gaza ne sont pas enfermés par Israël mais par le Hamas, qui :
  • détourne l’aide humanitaire,
  • utilise les civils comme boucliers humains,
  • interdit toute opposition politique.
    C’est lui qui transforme Gaza en piège pour ses habitants.

Conclusion

“Prison à ciel ouvert” est un slogan, pas une réalité. Gaza est prise en otage par une organisation terroriste qui préfère investir dans les tunnels et les roquettes plutôt que dans des écoles ou des hôpitaux.
La responsabilité première de l’enfermement des Gazaouis ne repose pas sur Israël, mais sur le Hamas et ses parrains régionaux.